Grande Rue est une voie plutôt triste, au fur et à mesure que l'on s'éloigne de la Grande Place on la sent abandonnée. Les commerçants font de leur mieux pour faire briller leurs locaux, mais vues de l'extérieur toutes les façades ont un air morne. En quittant la Grande Place, s'il fait beau, le seul réconfort est de voir au bout de cette longue rue un fond bleu et infini. Aujourd'hui l'infini a fait place aux nuages, ils s'empilent, j'aime penser qu'en dessous s'ancrent de belles montagnes aux sommets enneigés Mais cette terre est plate, elle a été rasée par le vent, elle l'est toujours.
El punto ciego soy yo, Ni espejos, ni retratos, La que veo no soy yo. Descubro una mujer, Recuerdo una niña, Me sorprendo. Esta soy yo, Cachos de mi, Qué vergüenza, Tenerse tan cerca, Habitar y ser este cuerpo, Desconocerse, Qué pena, Forzarse, Lastimarse, Por ceguera.
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